LE GENDER (ru, 17 février 2014). – Vous y comprenez quelque chose ? Impossible.
Par contre, nous vous proposons quelques citations qui vous révèleront qu’il
s’agit d’une offensive dangereuse, masquée sous un nom étrange, contre la
famille et l’Eglise, voire contre Dieu. La Révolution Française n’est pas finie,
il est temps de s’en apercevoir.
"Ce qui est en cause, c'est l'hétérosexualité en tant que
norme. Il nous faut essayer de penser un monde où l'hétérosexualité ne serait
pas normale." Eric Fassin, sociologue,
promoteur de la théorie du genre en France, professeur à l'Ecole Normale
Supérieure.
"Les enfants n'appartiennent pas à leurs parents."
Laurence Rossignol, sénatrice PS, 5 avril 2013, en direct sur France 2, émission
Ce soir ou jamais.
"Le but de la morale laïque est de permettre à chaque
élève de s'émanciper... Il faut être capable d'arracher l'élève à tous les
déterminismes : familial, ethnique, social, intellectuel." (Vincent Peillon,
ministre de l’Education, Le Figaro, 2/9/2012)
"Toute l'opération consiste bien, avec la foi laïque,
à changer la nature même de la religion, de Dieu, du Christ,
et à terrasser définitivement l'Eglise. " (Vincent Peillon, Une religion
pour la République, p. 277, édition du Seuil, 2010)
"Il faut donc à la fois déraciner
l'empreinte catholique qui ne s'accommode pas de la République et
trouver, en dehors des formes religieuses traditionnelles, une religion de
substitution qui arrive à inscrire jusque dans les mœurs, les cœurs, la chair,
les valeurs et l'esprit républicain sans lesquels les institutions républicaines
sont des corps sans âme qui se préparent à tous les dévoiements." (Vincent
Peillon, ibid., p. 34)
"La laïcité française, son ancrage premier dans
l'école, est l'effet d'un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser la Révolution comme promesse politique, morale, sociale, spirituelle. Il
faut pour cela une religion universelle : ce sera la laïcité. Il lui faut aussi
son temple ou son église : ce sera l'école. Enfin, il lui faut son nouveau
clergé : ce seront les hussards noirs de la république". (Vincent Peillon,
ibid., p. 48)
"Il
faut toucher un maximum de gens avec des messages subversifs et
politiques." La réalisatrice du film
Tomboy a propos de son film projeté en classes de primaire.
"Je suis pour la GPA accessible à tous les couples." Jean Pierre Michel, sénateur PS, rapporteur du texte
de loi sur le mariage pour tous au sénat.
"Des parents, un géniteur, une gestatrice peuvent permettre
ensemble la venue au monde d'un enfant." Najat
Vallaud Belkacem, porte-parole du gouvernement.
"Il faut en finir avec la filiation biologique." Erwan Binet, député PS et rapporteur de la loi
Taubira
"Une femme doit pouvoir
recourir à la PMA, soit parce qu’elle ne peut pas avoir d’enfant, soit parce
qu’elle ne souhaite pas avoir une relation avec un homme." François
Hollande
"Il s'agit de substituer à des concepts tels que "le sexe"
ou "la différence sexuelle" le concept de "genre" qui montre que les différences
entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature mais
socialement construites. [...] [La théorie du genre] se borne à dire que les
hommes et les femmes ne se retrouvent pas dans leur état biologique et se
construisent autrement." Julie Sommaruga,
député PS
« Je ne vois aucun inconvénient ni pour les unions à
plusieurs, ni pour les unions polygames, ni pour l’inceste. » Idem
"Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre
pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle
différence? C'est faire un distinguo qui est choquant." Pierre Bergé au Figaro
« Admettre la différence des sexes c’est admettre la
complémentarité des sexes, donc la domination patriarcale, donc l’oppression et
l’aliénation de la femme.» Judith Butler, philosophe féministe du
genre
« Le droit à l’adoption pour les couples homosexuels
repose sur une filiation fondée sur la volonté individuelle, et la volonté n’a
pas de sexe… » Daniel Borillo, Sénat
« La famille est une construction sociale créée par les
hommes pour dominer les femmes. » Roselyne
Bachelot, janv. 2013
« Revendiquer l’égalité de tous les individus quels que
soient leur sexe et leur orientation sexuelle c’est déconstruire la
complémentarité des sexes et donc reconstruire de nouveaux fondements
républicains. Il s’agit donc de déconstruire la complémentarité des sexes pour
transformer en profondeur la société. » Réjane Sénac, chercheure au CNRS
affectée au Centre de Recherches Politiques de Sciences Po (CEVIPOF),
enseignante à Sciences-Po Paris et à l’université Sorbonne Nouvelle –Paris 3,
source rapport du SNUipp, page 24-25
« Je pense qu’en matière du lien de
filiation, le mariage est devenu tout à fait secondaire. [...] Il me paraît
évident que le groupe que je préside préconisera d’ouvrir la possibilité
d’adoption aux couples non mariés, parce que, tout simplement, ça va de soi.
»
Irène Théry, sociologue, directrice d’étude à l’EHESS et nommée présidente
d’un groupe de travail par Dominique Bertinotti dans le cadre de la Loi
Famille.
« Pour pouvoir abolir le mariage, il faut d’abord que
tout le monde puisse en bénéficier. Ce que vous évoquez est tout à fait
envisageable [l’abolition du mariage] […] c’est l’étape suivante ». Caroline
Mécary, Avocate au barreau de Paris, festival « Mode d’emploi » à Lyon, nov
2013
« Une proposition que je vous soumets, ce serait de
disjoindre la parentalité et la conjugalité – pourquoi ne pas proposer dès la
naissance des enfants, disons juste après le sevrage, une disjonction des
maisons, c’est-à-dire une résidence alternée dès la naissance. Au moins, les
femmes anticiperaient une carrière maternelle comme les hommes anticiperaient
une carrière paternelle [...]. Les hommes pourraient envisager des métiers où
ils seraient bien obligés une semaine sur deux de s’occuper des enfants. Ce qui
veut dire qu’au moment de la séparation, les choses seraient beaucoup plus
simples : il n’y aurait plus de séparation puisqu’on serait déjà séparés.» Caroline Mécary, avocate au barreau de
Paris, spécialiste des droits des homosexuels, Festival mode d’emploi à Lyon,
novembre 2013
Cher
lecteur, voici
ce que tout un chacun peut lire dans Wikipédia (sur Internet), concernant
Vincent
Peillon,
depuis 2012 ministre de l’Education Nationale, promoteur fanatique du
‘gender’ :
«Origines familiales: Vincent
Benoît Camille Peillon est le fils de Gilles Peillon (1928-2007), banquier et communiste, qui fut directeur général de
la première banque soviétique hors d'URSS, la Banque Commerciale pour l'Europe du Nord –
Eurobank, puis de la banque
franco-algérienne Union méditerranéenne de banque. Du
côté maternel, il est issu d'une famille juive alsacienne : sa mère, Françoise
Blum, née en 1930, fut directrice de recherche à l'Institut national de la santé et de la recherche
médicale(INSERM), spécialiste en physiopathologie de l'hypophyse ; son grand-père était le
professeur Léon Blum (1878-1930), spécialiste de la physiopathologie rénale à
Strasbourg, initiateur de l'insulinothérapie en France, fils aîné du rabbin Félix Blum(1847-1925) et de Jeannette
Lederman ; sa grand-mère Thérèse Lion (1894-1985) est la fille d'un assureur
de Moselle, avocate et féministe, dont le militantisme marqua
particulièrement le jeune Vincent ; son oncle maternel est Étienne-Émile Baulieu (né Étienne Blum), coinventeur de la
pilule RU 486, professeur honoraire au Collège de France, et sa tante maternelle
est Suzanne de Brunhoff économiste au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), belle-fille du créateur
de Babar.
Vincent Peillon est le frère du journaliste Antoine Peillon.
Il est père de quatre enfants : deux filles nées de son premier
mariage, dont l'aînée, Salomé, à partir de février 2013, chargée de
mission à l'Institut français d'Israël dans le cadre d'un volontariat international, et deux fils nés de son union en secondes noces avec la
journaliste Nathalie Bensahel, rédactrice en chef adjointe au service « Notre Époque » de
l'hebdomadaire Nouvel Observateur.»
Fin des citations.
Ouf !
Petite suggestion: et si l'on s'adressait dorénavant par "Madame Peillon" à Monsieur le ministre Peillon, puisque le gender n'a plus d'importance?
- O.A.M.D.G. –