RU 26/2009 - AUTRICHE, RUSSIE
- AUTRICHE : L’inventeur
américano-autrichien de la ‘pilule’, Carl Djerassi, revient à 86 ans d’âge sur
son invention fatale. Qui est cette homme ? Il a
participé, avec Luis E. Miramontes et George Rosenkranz, à l'invention en 1951 de la noréthindrone,
une progestagène de synthèse, à partir de laquelle Grégory Pincus et John Rock
feront le premier contraceptif oral. Comme tant d’autres inventeurs - par ex.
Lise Meitner pour la découverte de la fission nucléaire aboutissant à la
construction de la bombe atomique, ou Jérôme Lejeune pour la découverte de
l’anomalie chromosomique ‘Trisomie 21’ aboutissant aujourd’hui à
l’extermination de 96% des fœtus reconnus trisomiques -, il n’a pas eu
l’intelligence de prévoir les effets catastrophiques de son invention. Et même
aujourd’hui, en dépit de son grand âge, il ne les reconnaît pas. Il parle
simplement, dans son article paru dans le quotidien autrichien DER STANDARD du
13.12.2008, du vieillissement alarmant du peuple autrichien (et allemand) et de
la nécessité de faire venir massivement des immigrés « préférablement
d’Inde, du Nigéria et du Brésil » pour remplacer les jeunes Autrichiens
inexistants, notamment pour assurer les retraites des personnes âgées. Car en
Autriche, dit-il, les personnes âgées de 65 ans et plus sont 16 %, ce qui met
ce pays à la 13e place des 195 pays du monde (l’Allemagne étant,
avec 18,3 %, le 4e pays le plus vieux du monde). Ce qu’il ne voit
pas - au moins ce qu’il n’avoue pas -,ce sont les effets autrement dévastateurs
de sa pilule : la séparation de l’amour et de la fécondité ; la
frivolité ; la promiscuité sexuelle ; la propagation du Sida ;
la diminution de la femme et de la jeune fille au niveau d’une vache à
hormones, l’abaissant ainsi à l’état d’un jouet sexuel ; les séquelles
hormonales et psychiques graves chez les femmes ; la raréfaction des
enfants, de leur joie et sourire dans les familles et dans les rues ; la
disparition des familles nombreuses ; la fermeture de nombreuses classes
et écoles ; le manque de vocations religieuses (rares avant le 3e
enfant) ; un monde de plus en plus adulte, vieux, triste, sans avenir…
Djerassi ne pense pas à tout cela. Nous avons là une preuve de plus qu’une
grande partie des scientifiques et chercheurs, voir l’intelligentsia dans son
ensemble, sont, à l’inverse de leur renommée, de peu de valeur, voire nocifs.
La plupart d’entre eux poursuivent qu’un seul but : la notoriété et le
lucre, n’importe les catastrophes qu’entraînent leurs agissements. L’Evangile
ne dit pas « Heureux les inventeurs, les intellectuels, les as et les
stars… », mais : « Heureux les pauvres, ceux qui pleurent, ceux
qui ont le cœur pur ! » Que celui qui a des oreilles, écoute et
se scrute ! – (ru)
- RUSSIE : Dans ce pays le christianisme renaît avec
force. Il y a 20 ans personne n’osait y croire, aujourd’hui c’est une réalité.
75 ans de communisme soviétique n’ont pu exterminer l’enracinement de l’Europe
orientale dans le Christ, la Sainte Trinité et la T.S. Vierge Marie. Voici
quelques chiffres : en 2008 on comptait en Russie 29.258 paroisses
orthodoxes (en 1988 : 6800), 804 monastères (en 1988 : 21), et 27000
prêtres (en 1988 : 6600). Cette résurrection se situe en fort contraste
avec ce qui se passe dans l’Eglise Catholique en Europe de l’ouest dont les
effectifs ne font que constamment reculer pendant la même période. La
Fraternité Sacerdotale Saint Pie X a entamé une ‘croisade de prières’ pour la
Russie, notamment pour la consécration de la Russie au Sacré Cœur de Marie par
le Saint Père avec tous ses évêques, pour satisfaire à la demande faite par la
Sainte Vierge en 1917 aux enfants de Fatima. Ainsi on pourra espérer que cette
lumière chrétienne à l’est – lux ex oriente – se répande non pas seulement en
‘Sainte Russie’, mais également vers les anciens pays satellites soviétiques,
et même vers notre Europe occidentale de plus en plus athée sinon
antichrétienne. La réunification des Catholiques avec les Orthodoxes devient un
devoir absolu, en laissant de côté les Anglicans embourbés dans leur évêques et
autres prêtresses homosexuels, et les Protestants amoncelés en 1500 sectes sur
le globe dont chacune fait sa religion à sa guise et suivant son goût. Selon
notre regretté ami +Vladimir Volkoff, dans une conférence au dîner-débat de
Radio-Silence du 6 mai 2003, il n’y a que 3 différences majeures entre le
Catholicisme et l’Orthodoxie : l’instant de la Conception Immaculée de la
Vierge Marie, le ‘filioque’ du Crédo, et l’insolubilité du mariage. Le premier
point ne porterait que ‘sur quelques secondes’, le deuxième ne serait qu’une
machination politique après le schisme de 1054 pour justifier celui-ci, et le
troisième nécessiterait une véritable réflexion théologique. En fait selon les
Orthodoxes le sacrement du mariage cesse dès qu’il n’y plus d’amour entre les
époux, pour les Catholiques le mariage est un lien inséparable tissé par Dieu
lors du consentement des époux, à l’image du lien qui unit N.S.J.C. à son
Eglise. Ces points ne justifient pas 1000 ans de séparation. Au travail,
Messeigneurs les théologiens ! Et nous autres : au prie-Dieu ! –
(ru)
- COMPTEUR NEGATIF : 12572e jour depuis la loi
« Simone Veil » autorisant en France l’assassinat des bébés à naître.
Cette loi criminelle sévit toujours, et son instigatrice court toujours.
- COMPTEUR POSITIF : SOS MAMANS (UNEC)
a pu sauver, à ce jour, 535 bébés de l’IVG, dont 44 encore à naître. Elle
héberge actuellement 31 femmes et jeunes filles enceintes. Deo gratias ! - - O.A.M.D.G. - -
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