RU 12+13/2009 - MONDE
- MONDE: L'utilisation du préservatif, recommandé voire imposé partout et à tout temps à tout le monde (l'affiche " En vacances j'oublie tout sauf le préservatif ") par des ministres, députés, médecins, éducateurs, média et autres irresponsables, est fondée sur une contre-vérité énorme, la soit dite " sécurité " de ce moyen. Pour permettre une contre-argumentation efficace, voici quelques réalités scientifiques prouvant que le préservatif n'est pas un moyen favorisant la (sur)vie, mais procurant tôt ou tard la mort sous forme de SIDA. Si vous voulez avoir le SIDA, prenez le préservatif ! Les propagateurs de ce bout de caoutchouc sont des criminels soit inconscients, soit - ce qui est beaucoup plus grave mais malheureusement probable puisque la vérité a maintenant éclaté devant le monde entier - conscients. Les explications courageuses du pape lors de son récent voyage en Afrique ont mis ce crime soigneusement dissimulé enfin sous le feu de l'actualité. Chaque Chrétien devrait avoir sous la main les arguments scientifiques solides prouvant la justesse des propos du pape :
- Les normes de qualité pour les préservatifs permettent un taux de 1,3 % de défauts (cassure de la matière). Donc un préservatif fabriqué " selon les normes en vigueur " ne garantit rien.
- En réalité dans 1,8 % des rapports sexuels vaginaux, les préservatifs se déchirent ; ce pourcentage monte jusqu'à 7,3 % dans le cas de rapports anaux (Dr De Vincenzi et d'autres à la VIIe Conférence contre le Sida, 1991).
- En raison des mouvements coïtaux lors des rapports sexuels, il faut compter avec un taux réel de glissement ou éclatement du préservatif de 15,1 % (James Trussel et d'autres, " Condom Slippage and Breakage Rates ", dans " Family Planning Perspectives " 1/1992 pp. 21-23).
- Des études particulières ont démontré qu'après une année d'utilisation du préservatif, 22 % des utilisateurs sains avaient contracté le Sida (Dr April et d'autres, dans " Medizinische Klinik ", cahier spécial mai 1993).
- Les préservatifs ont un taux d'échec, dans le cas de l'anti-conception, d'au moins 2 % (Dr Hoffmann, de " Pro-Familia RFA ", dans " Medical Tribune " N° 11/1987) ; on sait que le virus HIV est 30 fois plus mince et 600 fois plus court que le sperme humain : d'où la probabilité beaucoup plus forte d'échecs du préservatif par rapport au virus HIV.
- Le taux d'échec moyen du préservatif par rapport à son efficacité contre la transmission du Sida est de 7 % (Ministère de la Santé, Berlin, 1993)
- S'y ajoutent les révélations du chef de la section des propriétés polymères du Naval Research Laboratory des USA, C.M. Roland : " La superficie d'un préservatif apparaît comme une surface couverte de cratères ayant un diamètre de 15 microns environ et une profondeur de 30 microns. Pire même, dans l'optique de la transmission du virus, nous avons découvert des canaux de 5 microns de diamètre qui traversent la paroi de part en part. En d'autres termes, cela signifie qu'il existe des passages qui établissent un lien de communication entre l'intérieur et l'extérieur du préservatif et dont le diamètre est cinquante fois supérieur à celui du virus HIV. " (Alain Toulza dans " Sida, le vaccin de la vérité ", 1995).
En résumé : pratiquement tous les spécialistes admettent aujourd'hui que le préservatif peut parfaitement transmettre le Sida et le fait effectivement, même si cela se fait avec quelque retardement. Il faut de toute urgence, contre vents et marées, protéger les jeunes et moins jeunes du monde entier de cet outil de mort déguisé en " matériel auxiliaire médical ", voire les mettre en garde contre les propagateurs obstinés et criminels du préservatif, en recommandant - avec le pape - " l'humanisation du sexe ", notamment l'unique arme assurant une sécurité de 100 % contre le Sida : l'abstinence sexuelle avant le mariage, et la fidélité pendant le mariage. Ce ne sont pas les Chrétiens qui seraient des fous, mais les propagateurs du préservatif qui sont des criminels. (ru; cf RU 33/2000).
- - O.A.M.D.G. - -
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