RU 26+27/2014 - TOUS ISLAMOPHOBES?
ISLAMOPHOBES ? (ru, 12
juillet 2014) – Certains hommes du passé, pourtant pas tendres avec l’Islam, ne
sont jamais traités d’islamophobes par nos bobos et leurs media.
«
Islam! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute
persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font
trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout
l’univers. » (Bossuet /1627-1704).
« Tous les germes de la destruction sociale sont dans la
religion de Mahomet. » (Chateaubriand /
1768-1848).
« La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, (…) semble
condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste
portion de la terre où elle a étendu son empire » (Condorcet / 1743-1794).
« Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande
religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs
millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un
singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres
sanglantes et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la
plus triste et la plus pauvre forme du théisme. (…) Je n’ai pu y découvrir une
seule idée un peu profonde. » (Arthur
Schopenhauer / 1788 -1860).
« L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes,
l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui
force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de
l’intérieur de la famille. » (Alexis de
Tocqueville / 1805-1859).
« J’ai beaucoup étudié le Coran (…) Je vous avoue que je suis
sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout
prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle
est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du
monde musulman (…), je la regarde comme une décadence plutôt que comme un
progrès. » (Alexis de Tocqueville /
1805-1859).
« Si l’on préfère la vie à la mort, on doit préférer la
civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le
plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent sils ne
changent de culte. » (Alfred de Vigny /
1797-1863).
« Celui qui prétend être le prophète d’Allah devrait avoir des
lettres de créances, c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de
l’ensemble de sa vie. Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de
pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterre, en promenant la
mort sur un tiers du globe alors connu. » (Monseigneur
Louis Pavy Évêque d’Alger / 1805-1866).
« L’islam est contraire à l’esprit scientifique, hostile au
progrès ; il a fait des pays qu’il a conquis un champ fermé à la culture
rationnelle de l’esprit. » (Joseph
Ernest Renan / 1823-1892).
« L’influence de cette religion paralyse le développement social
de ses fidèles. (…) Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le
monde. (…) Si la Chrétienté n’était protégée par les bras puissants de la
Science, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle
de la Rome antique. » (Winston Churchill
/ 1874-1965).
« Je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec
l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affermir depuis. » (Hermann Von Keyserling / 1880-1946).
« Les nazis sont les meilleurs amis de l’islam. » (Le grand Mufti de Jérusalem en 1943).
« Je n’ai rien contre l’Islam, parce que cette religion se charge
elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent
avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c’est une religion
très pratique et séduisante pour un soldat. » (Heinrich Himmler Reichsführer SS / 1900-1945).
« C’est le grand phénomène
de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la
plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement
comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce
phénomène sont encore imprévisibles. A l’origine de la révolution marxiste, on
croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le
christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n’ont trouvé la
réponse. De même aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère préparé à
affronter le problème de l’islam.
En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile.
Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect
français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable
homme d’Etat. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes
variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde
arabe. Quand je dis «musulmane» je pense moins aux structures religieuses
qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet.
Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer
le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement,
il est trop tard ! Les «misérables» ont d’ailleurs peu à perdre. Ils
préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane.
Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d’eux une conception trop
occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils
préféreront l’avenir de leur race. L’Afrique noire ne restera pas longtemps
insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre
conscience de la gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution. » (André Malraux / 1901 – 1976)
C’est
un malheur pour le monde que les papes postconciliaires ne mettent pas en garde
la chrétienté contre l’Islam. Heureusement d’autres papes en ont eu la force et
le courage.
- O.A.M.D.G. -
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