RU 20+21/2015 - QUI ASSASSINA KENNEDY?


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QUI ASSASSINA KENNEDY ? (ru, 11 juillet 2015). – Ce n’est que maintenant que les archives s’ouvrent petit à petit. On vient de découvrir une vidéo montrant un discours du très catholique président J.F. Kennedy (du 27 avril 1961) devant la presse américaine. C’était une véritable déclaration de guerre contre … la Franc-maçonnerie, sans la nommer explicitement. Ceci a logiquement entraîné son assassinat du 22 novembre 1964 à Dallas, il y a exactement 51 ans. Jugez en vous-même, en lisant quelques paroles de ce discours passionnel (que vous pouvez suivre en anglais sur https://www.youtube.com/watch?v=H9o06mxzxEQ).

« Mesdames, Messieurs, le mot ‘secret’ est détestable dans une société libre et ouverte. Et nous sommes en tant que peuple par nature et historiquement opposés aux sociétés secrètes, aux serments secrets et aux procédures secrètes. Nous avons décidé il y a longtemps que les dangers de la dissimulation excessive et injustifiée de faits permanents l’emportaient amplement sur les dangers qui sont cités pour la justifier. Même aujourd’hui il y a peu d’intérêt à s’opposer à la menace d’une société fermée en imitant ses restrictions arbitraires. Même aujourd’hui il y a peu d’intérêt à assurer la survie de notre nation si nos traditions ne survivent pas avec elle, et il existe un très grave danger vis-à-vis d’un objectif pour augmenter la sécurité qui va être annoncé par ceux qui veulent l’atteindre à la limite de la censure officielle et de la dissimulation. Ca je ne le permettrai pas dans la mesure où c’est sous mon contrôle, et qu’aucun fonctionnaire de mon administration, que son rang soit élevé ou non, civil ou militaire, interprète mes paroles de ce soir comme étant une excuse pour censurer les médias, pour étouffer cette dissidence, pour couvrir nos erreurs ou de dissimuler à la presse et au grand public les faits qu’ils méritent de connaître, (à savoir que) nous sommes confrontés autour du monde à une conspiration massive et impitoyable qui s’appuie sur des moyens de couverture (cachés, déguisés) afin d’élargir sa sphère d’influence basée sur l’infiltration plutôt que l’invasion, sur des subversions plutôt que des élections, sur l’intimidation plutôt que le libre arbitre, sur la guérilla la nuit plutôt que l’armée le jour. Il s’agit d’un système qui a nécessité de vastes ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudée d’une efficacité remarquable qui regroupe des opérations militaires, diplomatiques, de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Ses objectifs sont cachés et non dévoilés publiquement… »

Depuis, les FM se sont librement développés autour du globe en resserrant leur maillage de façon inimaginable. Le pire, c’est que le public ne proteste plus, il s’en accommode. Aucun président ne lève plus sa voix depuis Kennedy pour accuser ce système, « véritable complot » comme il l’a précisé lui-même. Prenons un exemple. Un de ces organismes secrets, le groupe BILDERBERG, se réunit régulièrement en excluant totalement la presse. Cette année, du 11 au 14 juin, leur réunion mondiale a eu lieu à l’hôtel Interalpen au Tyrol/Autriche, à 1300 m de hauteur, à 4 km de l’Allemagne. 2100 policiers – dont la célèbre section Cobra directement placée sous l’autorité du Ministère de l’Intérieur autrichien - étaient mobilisés pour garantir la tranquillité et l’isolement des participants. Dans un rayon de 8 km autour de l’hôtel il y avait un brouillage complet des communications, mesure pourtant parfaitement illégale en Autriche. Le survol des alentours de l’hôtel était interdit dans un cercle de 40 km.

Les participants viennent de tous les domaines de l’activité humaine, dont un tiers du secteur politique. Deux tiers des participants viennent de l’Europe, le reste des Etats Unis. Voici quelques noms piqués entre les 140 participants en 2015, venus de 22 pays : José Barroso (président de la Commission Européenne), Heinz Fischer (président d’Autriche), Alain Juppé, Henry Kissinger, Ursula von der Leyen (ministre de la Défense en RFA), la reine Béatrix (Pays Bas), Catherine Pégard (présidente de l’établissement public du château de Versailles), David Petraeus (commandant de l’armée américaine en Afghanistan), John Sawers (chef des Services Secrets en Angleterre), Jens Stoltenberg (secrétaire général de l’OTAN), Peter Sutherland (chef de la Commission Trilatérale et président de British Petroleum), Robert B. Zoellick (président de la Banque Mondiale), etc. Il faut savoir qu’il est interdit de prendre des notes pendant les réunions du Bilderberg, que les téléphones portables sont interdits, qu’il n’y a pas de votes ni de résolutions ou de rapports, et surtout aucune interview. On dit même que les stylos sont interdits dans l’hôtel. Pourtant il y a des décisions claires et tranchantes. L’ancien secrétaire général de l’OTAN Willy Claes, membre du Bilderberg, a laissé entendre en 2010 que « les participants doivent mettre en œuvre les décisions politiques ( !) formulées lors de ces réunions. » Ils décident des guerres et des monnaies, des gouvernements et des présidents, de la pluie et du beau temps. Etienne Davignon, le président de Bilderberg, a déclaré en 2009 que « L’Euro est l’enfant de Bilderberg ». Rien que cela !

Et nous supportons cela ! En même temps nous claironnons que nous tenons à nos « valeurs », surtout la « démocratie »… On croit rêver. Comme disait Kennedy, nous assistons à un complot mondial, à un totalitarisme universel secret jamais vu jusqu’à présent.

Pire encore, ils projettent maintenant de réduire massivement le nombre des humains sur terre. Citons simplement les quelques lignes à ce sujet publiées par notre agence RU en 2009: « BILDERBERG (ru 38/2009): Le groupe mondialiste Bilderberg réunit régulièrement quelques-uns des plus riches du monde… Les milliardaires de ce monde sont actuellement au nombre de 793 qui se partagent 1700 milliards d’Euro. La dernière fois que le gotha de ce beau monde – le groupe Bilderberg – s’est retrouvé, c’était le 24 mai 2009 à Athènes, une réunion secrète convoquée par Bill Gates « pour venir au secours des maux actuels du monde ». Il est vrai que ce groupe a fait des donations de 70 milliards d’Euro depuis 1996 et pèse ainsi sur les développements dans le monde. A Athènes chacun avait la parole pour 15 minutes pour parler de son projet favori. Au dîner ils ont cherché un « projet parapluie » qui servirait aux intérêts de tous. Bill Gates obtint le consensus général : il faut s’occuper du problème de la surpopulation, cause universelle des maux de la planète. Déjà en février il avait déclaré en Californie : « Les prévisions disent que la population mondiale montera jusqu’à 9,3 milliards (actuellement 6,6 milliards), mais avec des initiatives charitables (sic), tels que meilleurs ‘soins pour la santé’, nous pensons que nous (sic) pourrons limiter ce maximum à 8,3 milliards. » Ils ont convenu de se servir de réseaux indépendants des gouvernements, « car ceux-ci sont incapables de faire face au désastre que nous voyons tous venir ». On sait que dans le langage mondialiste l’expression ‘soins de santé’ inclut surtout l’avortement. Il y a trop de monde ? Il faut tuer ceux qui arrivent de trop. Les gouvernements, aux yeux des milliardaires, tuent déjà quelques-uns (avortement, euthanasie), mais ce n’est pas assez. Il faut tailler dans la masse… Ces Messieurs ne discutent pas ces projets avec de la haine pour l’humanité, au contraire, ces tueurs se croient les apôtres de la bienfaisance. Dans l’ancienne Russie, à table on laissait toujours une place « au Bon Dieu », pour le pauvre qui frapperait à la porte. Aujourd’hui les mondialistes – athées - veulent plutôt tuer les nouveaux arrivants. ». – C’était notre dépêche RU de 2009. Nous en sommes toujours là !

-  O.A.M.D.G.  -