RU 46+47/2014 - LA GUERRE AUX BEBES
LA
GUERRE CONTRE LES BEBES (ru, 26 novembre 2014) – SOS MAMANS publie le communiqué suivant que nous avons
l’honneur de porter à votre connaissance : « L’image horrible ci-dessus montre ce
qui a été trouvé derrière un avortoir à Chicago. A en vomir ! Pourtant c’est la réalité qui nous entoure
aussi en France. Nous marchons sur presque un million de cadavres de bébés,
accumulés dans les poubelles de nos hôpitaux et cliniques depuis 1975 ! Le
chiffre officiel des avortements en France est de « 220.000
IVG « suivant le service statistique des ministères sociaux. Chiffre
immuable depuis 10 ans, donc faux. Mais
même ce chiffre donne la nausée. En plus, les avortements semblent augmenter.
Plus 4,7% en 2013, nous dit-on sans gêne ! Voyons la progression du mal, systématiquement
promu par la République (toujours la même) : le 17 janvier 1975 la loi
Veil donne aux femmes le droit à l’IVG (Infanticide Veil Généralisé). Une loi de 1982 introduit le remboursement de
l’IVG par l’Etat, celui-ci devenant de ce fait le commanditaire d’un meurtre en
série, voire d’un génocide. Une autre loi de 1993 créé un délit d’entrave à
l’IVG, il faut se taire. Une loi de 2001 a porté le délai légal pour
l’avortement de 10 à 12 semaines de grossesse, et introduit les IVG
médicamenteuses (aujourd’hui 60% des avortements sont médicamenteux, donc par
brûlure chimique du bébé). La loi égalité hommes-femmes de 2014 supprime la
notion de « situation de détresse » pour justifier une demande
d’avortement. Maintenant on peut avorter pour un oui ou un non, banalisant ce
carnage à l’extrême. Jusqu’où ira-t-on ? Certaines « entraves » n’ont toutefois
pas encore été éliminées : la « clause de conscience »
permettant à un médecin de refuser une IVG, et le délai obligatoire de 7 jours
de réflexion pour la femme après la première consultation. Mais le mal progresse
toujours, ces derniers bastions tomberont. Rien ne les arrête, puisque le Bon
Dieu a été éliminé de l’espace publique, ils aimeraient même le chasser des
consciences si c’était possible. Pourtant les autorités menant cette guerre
contre les bébés se plaignent amèrement que « pour des questions de
rentabilité financière » 5% des établissements publics et 48% des
établissements privés pratiquant l’IVG ont fermé ces 10 dernières années, soit
plus de 130 établissements au total. Ils n’osent pas publier le nombre de
médecins – toujours croissant - qui refusent l’IVG. La vérité est que ce
carnage devient insupportable à une partie croissante du corps médical, et les
avorteurs et avorteuses en deviennent fous de rage. En plus, gémit le Haut
Conseil, « 37% des gynécologues partiront à la retraite dans les 5 ans à
venir «, faisant craindre « l’absence croissante d’une relève
militante »… Les va-t-en-guerre s’en vont ? Pendant ce temps, les Chrétiens et autres
défenseurs de la vie continuent imperturbablement leur résistance, véritable
« résistance » à une guerre totalitaire : les manifestants de
masse pro-vie, les veilleurs, les veillées de prière dans les églises, les
rosaires devant les avortoirs, les associations d’aide aux femmes et jeunes
filles confrontées à l’avortement. En plus toute une armée de jeunes gens
arrivent des « écoles totalement libres » décidés à se battre pour
les bébés et à prendre la relève d’une résistance qui s’amplifie depuis 40 ans.
Dans toute l’Europe, surtout à l’est, mais aussi en Espagne par exemple, des
faits similaires peuvent être observés : ASSEZ ! ARRETONS LE
MASSACRE ! SAUVONS LES BEBES ! Rien que notre petite association SOS MAMANS
est arrivée à sauver, en 19 ans de travail acharné, 1014 bébés, en se
précipitant au secours des jeunes mamans qui se sentent acculées à l’avortement
de leurs bébés, tout en pressentant que ce serait la perte de leur âme. Et
combien de groupes travaillent ainsi dans l’ombre, dans l’ambiance douce de la
charité ? Le Royaume de Dieu arrive, nous annoncera le temps de l’Avent
très bientôt ! Notez s.v.p. : Vendredi 12 décembre 2014 à 16h :
conférence-diaporama SOS MAMANS au Café « LE DIX », 10 place de la
gare, Strasbourg. Entrée libre et gratuite. Comment former un groupe SOS
MAMANS ? Samedi 27 décembre 2014 à 16h : Goûter
de noël SOS MAMANS, au café-restaurant « LE PALAIS », 16 rue Monge,
Paris 5e (en face de l’église St Nicolas du Chardonnet et de la
Mutualité), salle au sous-sol. Entrée libre et gratuite. Il y aura aussi des
enfants que nous avons pu sauver avant leur naissance. Venez entourer ces
mamans, amenez des petits cadeaux pour mamans ou enfants. - Ensuite, 18h30 dans l’église en face, messe
d’action de grâces, avec – après la messe à l’autel de la Ste Vierge au
chœur de l’église – renouvellement de la consécration de SOS MAMANS à
l’Immaculée. Soyons nombreux s.v.p., car sans la protection de la Ste
Vierge notre travail de sauvetage des bébés ne serait rien. Samedi 24 janvier 2015 à 12h30
au restaurant du TIMHOTEL, porte de Clichy, Paris 17e. C’est notre déjeuner-gala
annuel au profit de l’œuvre humanitaire SOS MAMANS, repas festif 90
Euro/personne. Réservation ouverte dès maintenant. Nous célébrerons divers
évènements : 20e anniversaire de SOS MAMANS, 2ème
médaille d’or pour une de nos petites mamans héroïques, le 1000e
bébé sauvé il y a 2 mois, sortie du livre « Journal de bord », invité(e) surprise… » Inscriptions :
SOS Mamans, BP 70114, 95210 St-Gratien, sosmamans@wanadoo.fr » - Fin du communiqué de SOS MAMANS (UNEC). |