RU 28/2013 - GENDER
GENDER
(ru, 17 juillet 2013) – Si vous ne savez
pas trop ce que cela veut dire, le « gender », ne vous faites pas de
souci, vous n’êtes pas seul(e). En regardant dans le dictionnaire, vous n’y
trouverez rien d’intelligent. Il n’y a pas de mot clair pour traduire en
français le mot anglais « gender ». Et dans un dictionnaire
anglais-allemand, on vous propose comme traduction de gender :
« soziales Geschlecht » (sexe social). Bref c’est un mot fumigène. Du
coup tout le monde se retrouve dans ce fourre-tout nébuleux et glutineux:
les féministes y trouvent enfin un slogan pour leurs revendications contre
nature, les homosexuels leur étiquette d’honorabilité, les travestis leur nuée
de cachoterie, les fonctionnaires et députés leur diplôme de non-racisme, et
certains enseignants et éducateurs la justification pour leurs délires
inavouables face aux petits enfants. A l’école on fait croire aux enfants que, tout
en pensant qu’ils sont garçons ou filles, ils ne le sont pas nécessairement, et
qu’ils peuvent même changer de sexe, voire changer tous les jours en vacillant
entre les deux sexes. Un refus clair de la nature ! Comme
les chars de combat qui s’entourent d’un nuage de fumée, les défenseurs du
gender veulent échapper par cette dissimulation à toute contre-offensive. Voici
la vérité concernant la campagne universelle du « gender » :
c’est une mystification intentionnelle. Tous doivent parler du gender, mais
personne ne doit savoir de quoi il s’agit. C’est l’apogée de la mise en folie
de l’homme moderne, sa cocacola-isation universelle, sa mise en égalité où
aucune tête doit dépasser, afin que quelqu’un dans l’ombre puisse mieux
gouverner le monde, à savoir Satan, le maître « dès l’origine » du
mensonge. L’abbé
Laguérie n’avait-il pas prêché, il y a quelques années, du haut de la chaire de
l’église Saint Nicolas du Chardonnet à Paris: « Un homme, une femme
et un enfant – qu’est-ce qu’il y a de plus simple ? Mais l’homme essaye
tout pour détruire ce don du Créateur ! » A l’époque on ne parlait
pas encore du gender, mais tout s’y préparait déjà. Aujourd’hui la bataille du
gender asphyxie nos enfants dès la maternelle et désoriente les masses
populaires dans une mise en scène médiatique inouïe, avec des conséquences
dramatiques. Quand
l’ennemi s’entoure de nuages de fumée, il faut s’attendre à tout, voire au
combat final. Restons vigilants, ne cédons rien, tenons fermement à la vocation
du père, de la mère et de l’enfant, et rien d’autre ! Tout ce qui sort de
ce cadre voulu par Dieu est de la fumisterie satanique. Selon Saint Augustin la famille est une image terrestre - et sacramentelle - de la Sainte Trinité elle-même. On comprend que Satan fait intervenir ses armes suprêmes – le mensonge et la fumisterie – pour l’attaquer. Mais Dieu veille. - O.A.M.D.G. –
|